VINGT ans de rencontres littéraires à Vienne (Isère)
mardi 29 avril 2014
LSC 2014 Sophie BENECH
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Lettres sur cour
a dit…
Sophie Benech traduit par amour à la fois du français et de la littérature russe. Pour Gallimard (Oulitskaïa, Bouïda), Verdier (Chalamov), Corti (Andreiev), Actes Sud (Alexievitch). Elle a reçu le prix Laure-Bataillon pour les œuvres complètes d’Isaac Babel. Avec son père, qui fut libraire, elle a créé les éditions Interférences, qui proposent de courts volumes sous une couverture de gravures noir et blanc. Les univers anglo-saxons et russes s'y côtoient, avec une prédilection pour un réalisme teinté de fantastique.
Retrouvez-la à Vienne pour Lettres sur cour :
JEUDI 3 JUILLET / 16 H Musée archéologique, Saint-Romain-en-Gal ISAAC BABEL, Savoir ce que c’est, la vie SOPHIE BENECH, lecture DENIS CUNIOT, piano
VENDREDI 4 JUILLET / 12 H Cour des Carmes, 15, rue de la Charité Buffet littérair SOPHIE BENECH Les éditions Interférences
SAMEDI 5 JUILLET / 12 H Cour de Saint-Louis, Rue Juiverie Buffet littéraire SOPHIE BENECH,LUBA JURGENSON Voix de femmes : de Tsvetaeva à Alexievitch
"Ah, c'était d'une logique géniale ! Des victimes, des bourreaux, et à la fin, les bourreaux deviennent des victimes. On ne dirait pas que cela a été inventé par des hommes... Une perfection pareille, ça n'existe que dans la nature. La roue tourne, et il n'y a pas de coupables. Non, tous veulent qu'on les plaigne. Ils sont tous des victimes, au bout du compte. Tous !... J'ai besoin de savoir... Pourquoi ? Avec tout ce que je sais, j'ai peur de moi-même." La Fin de l'homme rouge, Svetlana Alexievitch,Actes Sud, 2013, traduction Sophie Benech)
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Sophie Benech traduit par amour à la fois du français et de la littérature russe. Pour Gallimard (Oulitskaïa, Bouïda), Verdier (Chalamov), Corti (Andreiev), Actes Sud (Alexievitch). Elle a reçu le prix Laure-Bataillon pour les œuvres complètes d’Isaac Babel. Avec son père, qui fut libraire, elle a créé les éditions Interférences, qui proposent de courts volumes sous une couverture de gravures noir et blanc. Les univers anglo-saxons et russes s'y côtoient, avec une prédilection pour un réalisme teinté de fantastique.
Retrouvez-la à Vienne pour Lettres sur cour :
JEUDI 3 JUILLET / 16 H
Musée archéologique, Saint-Romain-en-Gal
ISAAC BABEL, Savoir ce que c’est, la vie
SOPHIE BENECH, lecture
DENIS CUNIOT, piano
VENDREDI 4 JUILLET / 12 H
Cour des Carmes, 15, rue de la Charité
Buffet littérair
SOPHIE BENECH
Les éditions Interférences
SAMEDI 5 JUILLET / 12 H
Cour de Saint-Louis, Rue Juiverie
Buffet littéraire
SOPHIE BENECH,LUBA JURGENSON
Voix de femmes : de Tsvetaeva à Alexievitch
"Ah, c'était d'une logique géniale ! Des victimes, des bourreaux, et à la fin, les bourreaux deviennent des victimes. On ne dirait pas que cela a été inventé par des hommes... Une perfection pareille, ça n'existe que dans la nature. La roue tourne, et il n'y a pas de coupables. Non, tous veulent qu'on les plaigne. Ils sont tous des victimes, au bout du compte. Tous !... J'ai besoin de savoir... Pourquoi ? Avec tout ce que je sais, j'ai peur de moi-même."
La Fin de l'homme rouge, Svetlana Alexievitch,Actes Sud, 2013, traduction Sophie Benech)
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