samedi 12 juillet 2008

vienne-sur-google

1 commentaire:

  1. On tire sur la sable la barque bitumée.
    On endort le feu jusqu'au matin.
    L'angoisse remonte à travers la terre


    (ce texte de J-B Para dans "La faim des ombres" Obsidiane)

    merci pour lettes sur cour
    et cette fraternité entre lecteurs et liseurs

    Georges B.

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