VINGT ans de rencontres littéraires à Vienne (Isère)
On tire sur la sable la barque bitumée.On endort le feu jusqu'au matin.L'angoisse remonte à travers la terre(ce texte de J-B Para dans "La faim des ombres" Obsidiane)merci pour lettes sur couret cette fraternité entre lecteurs et liseursGeorges B.
On tire sur la sable la barque bitumée.
RépondreSupprimerOn endort le feu jusqu'au matin.
L'angoisse remonte à travers la terre
(ce texte de J-B Para dans "La faim des ombres" Obsidiane)
merci pour lettes sur cour
et cette fraternité entre lecteurs et liseurs
Georges B.